Killer

Le jeu dont vous êtes... la victime !

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Un killer à contraintes

Mélanie m’a écrit

J’aurais besoin de tes conseils... je travaille dans un camp de vacances l’été et cela fait cinq ans qu’entre moniteurs nous organisons un killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. de type simple... Ça devient redondant a la longue... Alors je me suis dit que je pourrais tenter d’en organiser un complexe pour cet été... Mais je n’ai pas beaucoup d’imagination pour le scénario scénario Dans un jeu de rôle, his­toire mise au point par le maître de jeu et les autres orga­ni­sa­teurs éven­tuels, et dans laquelle les per­son­nages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le dérou­lement de l’histoire. ... alors si tu veux m’aider :-)

Voici les détails techniques :

- 50 personnes
- 2 organisateurs
- Terrain du camp de vacances (on dort là, et c’est un grand terrain avec du bois autour...)
- 2 à 3 semaines pour jouer.

Nous pouvons jouer le soir et de bonne heure le matin, mais il est interdit de jouer le jour devant les enfants. Donc, avant huit heures trente le matin et entre seize heures trente et vingt-trois heures trente le soir... Ce sont les règles...

De plus, selon moi, il serait plus facile de faire un killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. chacun pour soi qu’en équipe car ce n’est pas tout le monde qui est disponible tout les soirs à cause de la job... C’est pourquoi le killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. simple fonctionnait à merveille mais je crois qu’il est temps d’innover !

Merci beaucoup !

Tout d’abord, je vais te répondre ce que je réponds à beaucoup d’internautes qui me contactent : je ne peux pas organiser votre jeu à votre place, d’abord parce que je ne suis pas sur place (mais un voyage au Québec ne me déplairait pas :-D), ensuite parce que ce sera beaucoup moins rigolo pour vous. Je peux aider mais pas créer un jeu de toutes pièces pour vous. Ce n’est pas mon rôle. (oui, je sais ce que vous pensez, mais ça va mieux en le disant).

Laisse moi m’inquiéter aussi de la notion de sécurité ; je suis moi même un ancien moniteur de camps de vacances (avec EVA, si tu as lu mon histoire personnelle) et je ne voudrais surtout pas que vous en veniez à négliger les enfants parce que vous faites un killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. entre vous. Ce serait dangereux et irresponsable. D’après mon expérience, quand les enfants ne sont plus là les moniteurs ne sont bons qu’à une chose : dormir ! Mais apparemment vous n’avez pas les enfants en charge pendant la soirée, c’est donc peut-être faisable. Promets moi que vous aurez toujours cela à l’esprit. (elle a promis)

Passons au jeu :

Une chose est sûre, il n’y a pas assez d’organisateurs. A deux pour gérer cinquante joueurs, surtout sur un espace peu étendu et offrant peu de positions de repli, les organisateurs vont cavaler comme des fous. Et s’il y a un scénario scénario Dans un jeu de rôle, his­toire mise au point par le maître de jeu et les autres orga­ni­sa­teurs éven­tuels, et dans laquelle les per­son­nages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le dérou­lement de l’histoire. , il faut prévoir de déposer des indices ou de monter des énigmes.

N’oublie pas la part d’improvisation indispensable, qui ne permet pas d’écrire tout le scénario scénario Dans un jeu de rôle, his­toire mise au point par le maître de jeu et les autres orga­ni­sa­teurs éven­tuels, et dans laquelle les per­son­nages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le dérou­lement de l’histoire. à l’avance. Cependant, les indices peuvent être déposés le jour pendant les activités en compagnie des enfants, et être trouvés le soir par les joueurs.

Ensuite, il faut m’en dire plus ! De quel côté avez-vous envie de vous diriger ? Êtes-vous plutôt fans de science-fiction ou d’espionnage ? On va éviter les ambiances costumées, pour le sérieux et la discrétion.

Une suggestion : pourquoi les joueurs ne seraient pas des colons venant de x planètes pour s’installer dans cet endroit verdoyant et riche ? Les membres de chaque colonie seraient tentés de s’entraider, tout en essayant d’acquérir le meilleur lopin de terre pour eux-même (donc jeu en équipe avec un côté chacun pour soi, certains colons renégats pouvant s’allier avec une autre race). Pour connaître le meilleur lopin de terre, il faut dégotter un géologue qui fasse une étude, un sourcier qui détermine si la nappe phréatique est accessible, un herboriste qui vérifie si le sol est fertile et si les plantes qui y poussent sont toxiques, etc... En plus, on peut découvrir à certains endroits les artefacts d’une puissante civilisation éteinte (vraiment éteinte ?) qui procurent des pouvoirs magiques / de la technologie. Bien sûr chaque race de colons a sa propre spécificité et ses propres pouvoirs.

Pendant la journée les inspecteurs du ministère des Colonies de l’Empire Galactique sont là et on n’a pas le droit de se nuire, mais le soir ils sont partis se coucher et on peut se faire les pires vacheries.

Voilà un départ de scénario scénario Dans un jeu de rôle, his­toire mise au point par le maître de jeu et les autres orga­ni­sa­teurs éven­tuels, et dans laquelle les per­son­nages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le dérou­lement de l’histoire. tel qu’il me vient. J’espère qu’il te plaira. Dis-le moi.

Pensez aux enfants ! Et j’espère que vous leur organisez quelques jeux de rôle rien que pour eux. Pour ça aussi j’ai la technique (il faut un peu s’adapter pour les jeunes enfants, on formait des animateurs avec EVA), mais ce serait un peu long par mail. Il faudrait qu’on vienne vous l’enseigner sur place ! Ah, j’adore le Québec ! (je l’ai déjà dit, ça, non ?)

Fred


 

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