Killer

Le jeu dont vous êtes... la victime !

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Petit Killer entre amis

Le Killer du réveillon

Salut Fred !

Voila, j’organise un Killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. ce soir, pour le réveillon, et en flânant sur internet je suis tombé sur ton site. J’ai constaté qu’il ne parlait pas d’une autre variante du killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. , celle que je vais utiliser ce soir, qui n’est un fait qu’un mélange du « killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. simple », du « killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. par action » et du « killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. en équipe ». J’ai découvert cette variante durant une IRL (in real life) de joueurs de MMORPG. Un ami à moi avait organisé un killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. sur les 24 heures de notre manifestation, à l’époque.

J’ai nommé cette variante « Petit Killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. entre amis ». En effet, cette variante est adaptée aux manifestations courtes (une journée, deux maximum). Elle nécessite cependant qu’une soirée ou une journée soit déjà organisée, avec quelques animations déjà prévue. Par ailleurs, c’est une excellente animation pour des gens qui NE SE CONNAISSENT PAS, ou qui se connaissent par groupe. C’est une excellente façon de rencontrer les autres et de s’en faire des amis. L’organisation n’est pas très longue (une journée), et ne prend pas des masses de temps pendant la soirée. En outre, un seul MJ suffit à une quinzaine de joueurs. Au delà, par contre, autant faire un vrai « killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. en équipe » avec un court scénario scénario Dans un jeu de rôle, his­toire mise au point par le maître de jeu et les autres orga­ni­sa­teurs éven­tuels, et dans laquelle les per­son­nages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le dérou­lement de l’histoire. .

Le principe est simple. Le MJ Forme plusieurs équipes, avec un nombre de joueurs plus ou moins égal. Il vaut mieux faire des équipes égales si les gens ne se connaissent que par groupe, en mélangeant les groupes. Les équipes inégales sont indiquées dans le cas ou deux joueurs se connaissent très bien et savent jouer : ça fait une équipe, et on peut ensuite faire trois équipes de 4 personnes, c’est très sympa, ça fait un peu les loups au milieu de la bergerie :c] Il vaut mieux éviter d’avoir des joueurs isolés (ie sans alliés), car cela nuit au caractère social de la soirée. Par contre, c’est une très bonne idée si il y a un joueur qui est plus expérimenté que les autres ou qui possède des avantages, et que les gens ne sont pas là principalement pour se rencontrer.

Deuxième étape, le MJ donne une ou plusieurs cibles aux joueurs. Cela devient intéressant quand on sait que quand il y a au moins 3 équipes, il est très probable qu’une cible ait plusieurs assassins a leurs trousses. Évidemment, il ne faut pas que plusieurs joueurs de la même équipe aient une cible en commun, bien que cela puisse rendre le jeu intéressant, mais un rien machiavélique. :D Le nombre de cibles varie selon la durée du jeu. Une soirée : 2 cibles max, deux jours : 4 cibles max. Le jeu devient intéressant quand on s’attaque aux « mots de passe ». En effet, il est trop facile de dire au joueur : tes alliés sont X et Y. Alors on lui donne deux mots de passe. Le premier est à prononcer en public, il signifie « quelqu’un est de mon équipe ? » et le second est à répondre juste après et signifie « je suis dans ton équipe ». Bien évidemment, on choisit des phrases d’une banalité sans pareil afin de conserver le doute sur l’identité de la personne qui répond. Un petit exemple, lors d’un repas :

« Quelqu’un peut me passer le sel ? » « Tu n’as qu’à aller le chercher ... »

Tout comme le killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. par action, les meurtres s’effectuent en faisant faire quelque chose à la victime. Sinon, la logistique serait trop importante. Vous me voyez vraiment ramener un carton de pistolets à billes le soir du 31 en disant : « Salut, c’est moi, j’apporte le matos pour le killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant.  ! ». Par contre, lorsqu’un joueur est mis hors d’état de nuire, c’est définitif. Cela augmente le risque et pimente le jeu. Du coup les joueurs ne cherchent des alliés que lorsque la soirée a déjà commencée, et les meurtres ne commencent pas tout de suite. Les joueurs ne sont pas morts dès le début et peuvent bien passer deux heures à se regarder en chiens de faïence en trouillant à vitesse lumière sans que rien ne se passe. Ah ! Paranoïa ... Même si on se fait tuer en premier, on a quand même pris beaucoup de plaisir à jouer :c]

Vient ensuite la mort. Lorsqu’un joueur en assassine un autre, il doit le regarder (voire le toucher) et lui dire à voix haute : « je t’ai tué ». Les personnes qui entendent cette phrase sont alors des témoins. Les témoins, l’assassin et la victime vont ensuite voir le MJ. La victime est remerciée par le MJ, qui peut alors lui offrir un lot de consolation. Les autres lancent un dé qui définit une ou plusieurs informations concernant la victime (respectivement l’assassin) pour l’assassin (respectivement le témoin). Il est à noter en passant que les témoins ne sont pas obligés d’aller voir immédiatement le MJ, contrairement à l’assassin. Cependant, ils ne doivent pas excéder un délai de 10 minutes après le meurtre, et doivent prouver qu’ils sont témoins en disant au MJ la méthode utilisée pour assassiner. Des fois il veut mieux que l’assassin de sache pas qu’il y avait un témoin, puisque cela intervient dans les conditions de victoire (on verra plus tard). Personnellement j’utilise un dé 6 :

1 Rien 2 Liste des cibles 3 Apprendre sa méthode d’assassinat 4 Mots de passe de l’équipe 5 Liste des alliés du joueurs 6 Toutes ces informations !

Maintenant parlons du TRÈS gros avantage de cette méthode. Lorsque vous organisez une soirée qui verra un killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. se dérouler, il est TRÈS probable que plusieurs invités ne viennent finalement pas, ou que des gens se pointent à l’improviste. Et bien, il suffit de préparer des feuilles de missions (nom des cibles, méthode d’assassinat, mots de passe) pour tout le monde, qu’ils soient sûrs ou non de venir, plus quelques unes au cas où. Là où le jeu devient à mon avis totalement jouissif, c’est qu’au début de la soirée, on s’isole avec chaque joueur potentiel individuellement. On lui présente sa feuille de mission, fermée. On lui demande de choisir : lire la feuille ou la déchirer. S’il la lit, il accepte sa mission, sinon il devient innocent.

Il existe deux politiques pour les innocents : De manière assez sympathique, on les retire de la liste des cibles des autres joueurs. Ils peuvent cependant être témoins des meurtres et donc obtenir des informations qu’ils peuvent ensuite distribuer à leur gré, et intervenir dans les conditions de victoire des autres joueurs. Personnellement je préfère la seconde solution : les innocents restent dans les cibles des assassins, mais si un assassin tue un innocent, il prend un malus.

Parlons des malus. C’est un peu compliqué, et vous n’êtes pas obligé de les appliquer. Moi j’aime bien :c] Chaque témoin de meurtre est compté comme un malus pour l’assassin. Si un assassin tue un innocent, il prend un malus. Si un assassin tue un témoin d’un de ses meurtres, il ne prend pas de malus, et le témoin ne compte plus comme un malus. Cependant, ce nouveau meurtre peut avoir lui aussi des témoins qui sont comptés au même titre que ceux qui participent au meurtre d’une cible. Si un assassin tue un assassin qui n’est pas sur sa liste : il ne prend pas de malus si c’est la cible d’un de ses alliés. Il prend un malus si la cible n’est pas dans son équipe mais n’est pas la cible d’un allié. Il prend trois malus si la cible est dans son équipe ^_^’ !

Pour remporter la partie, les joueurs doivent assassiner toutes leurs cibles sans se faire tuer. Si vous appliquez les malus, les vainqueurs sont ceux qui en ont le moins, évidement. Si vous n’appliquez pas les malus, alors les vainqueurs sont tous les joueurs qui ont assassinés toutes leurs cibles sans se faire tuer et qui n’ont aucun témoins de leurs méfaits vivants.

Enfin, vient une bonus de mon cru en ce qui concerne les gens qui débarquent à l’improviste. Comme il n’est pas possible de leur préparer une fiche à l’avance, je prépare des fiches dites anonymes. J’en imprime deux. Une identique à celle des joueurs avec le nom ’anonyme’, et la seconde que je cache sur le lieu de la manifestation de la forme : « Si vous lisez ce message, vous venez d’accepter une seconde mission. Si vous avez été tué ou que vous êtes un innocent, vous pouvez choisir de ne pas accepter cette mission. Si vous acceptez cette mission (impossible :D), vous devez ajouter la cible suivante à votre liste : cible. Vous pouvez utiliser cette méthode d’assassinat en plus de celles que vous pouviez avoir avant : méthode. La liste de vos alliés ne change pas. Si un allié doit assassiner un anonyme (c’est à dire vous !), cette cible sera retirée de sa liste lorsque vous l’en informerez.. » Évidement, si un joueur possède un anonyme sur sa liste et que personne ne trouve l’ordre de mission, cette ligne ne sera pas comptée en fin de partie. Si quelqu’un débarque à l’improviste on lui donne l’ordre de mission, et à ce moment là on informe tout le monde que le joueur « anonyme » est la personne qui vient d’arriver. Bien qu’il puisse s’agir d’un innocent si celui ci refuse de jouer et que vous utilisez les malus :D

Un dernier mot pour de ma part à tous les futurs MJ de killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant.  : Voila, beaucoup de bonus de ma part, à cause d’une certaine créativité. Vous n’êtes pas obligés de tout reprendre, l’essentiel étant évidement de s’amuser. N’oubliez jamais qu’une règle n’est jamais universelle et obligatoire. En tant que MJ il est possible de modifier les règles comme bon vous semble afin de donner plus de plaisir aux joueurs. Sur ce, je vous souhaite bon jeu et une excellente année 2006 ! Et longue vie à Killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant.  !

Mega-Squall

Merci, Mega-Squall !

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