Killer

Le jeu dont vous êtes... la victime !

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Assassiner autrement

Killer par actions

C’est un lecteur, Pierre Charlet, qui m’a signalé ce type de killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. que je ne connaissais pas.

Il peut être improvisé rapidement au sein d’un petit groupe et géré par une seule personne.

Vas-y, Pierre, explique.

 Principe

Le principe du jeu est simple : tout les participants reçoivent une action. Pour marquer un point, il faut « tuer » un autre participant en lui faisant faire cette action. Par exemple, si Gwe reçoit « Se faire servir à boire » et que par d’habiles manoeuvres il réussit à ce que Wally lui serve à boire, il tue Wally et lui annonce qu’il est mort (on peut également sortir son flingue ou trouver tout autre manière d’être plus explicite...).

Gwe est donc l’assassin et Wally la victime. Cependant, contrairement aux killers classiques, Wally n’est pas hors-jeu : ils échangent leurs actions, Gwe repart en chasse avec l’action de Wally et Wally prévient le maître du jeu maître du jeu Joueur qui gère le dérou­lement de la partie et s’efforce d’en main­tenir la cohé­rence. Il connaît tout de l’histoire qu’il fait vivre aux autres joueurs. qu’il s’est fait descendre. Celui-ci note les scores et lui donne une nouvelle action. Ainsi l’assassin ne perd pas de temps et peut enchaîner plusieurs meurtres à la suite alors que la victime doit attendre d’avoir une nouvelle mission pour continuer.

A chaque assassinat on marque un point et à chaque fois qu’on se fait descendre on en perd un. Toutes les actions consisteront à faire faire quelque chose à sa victime de son plein gré (pas de violence !). Il est primordial que l’action soit initiée par l’assassin. Pour notre exemple, si Wally sert spontanément Gwe, Gwe ne peut pas revendiquer un assassinat.

La réussite de ce type de killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. dépend essentiellement de l’imagination de l’organisateur. En effet, il devra préparer un grand nombre de méthodes qui doivent être délirantes mais néanmois faisables. Trop compliqué, l’assassin ne parviendra pas à le réaliser. Trop simple, il y aura trop de meurtres, ce qui nuira à l’ambiance du jeu et la victime se sentira blousée et risque de se démotiver. L’idéal étant que la victime une fois tuée se frappe le front en se disant « mais bien sûr ! » et que tous deux éclatent de rire. Voire même qu’elle comprenne qu’elle s’est faite avoir avant que l’assassin ne lui dise.

L’organisateur doit graduer les méthodes : Les premières méthodes mises en circulation doivent être assez facilement faisables pour lancer le jeu. Mais très vite les participants se méfieront et les méthodes compliquées seront plus adaptées : elles sont plus dures à mettre en place mais la victime les verra moins venir. Cependant, si un joueur n’arrive pas à se dépatouiller avec sa méthode, il faut qu’il puisse au bout d’un certain temps venir la changer auprès de l’organisateur.

Pour pimenter le jeu, l’organisateur peut régulièrement afficher le tableau des scores. Notamment si un des joueurs prend trop largement la tête...

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