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Le jeu dont vous êtes... la victime !
Dans un jeu de rôle jeu de rôle Jeu qui consiste à interpréter le rôle d’un protagoniste (généralement un héros) dans une histoire. , histoire mise au point par le maître de jeu et les autres organisateurs éventuels, et dans laquelle les personnages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le déroulement de l’histoire. C’est le boulot du maître de jeu de prévoir les réactions des joueurs, et de leur préparer différents chemins en fonction de leurs décisions. Bien entendu, ils peuvent prendre des initiatives imprévues, et le maître de jeu doit alors improviser pour continuer l’histoire vaille que vaille. Dans les parties longues (on parle de « campagne » quand les joueurs se voient par exemple tous les samedis pour continuer le scénario), il peut stopper le jeu pour y réfléchir jusqu’à la séance suivante. Impossible dans une murder-party qui se déroule sur le temps d’une soirée ! Dans un killer killer Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. il peut introduire une mission annexe pour occuper les joueurs le temps de trouver une parade.
Cette dimension d’improvisation n’existe pas dans les jeux d’aventure sur ordinateur, abusivement appelés « jeux de rôle » , parce que l’ordinateur ne sait pas improviser. On se retrouve coincé à se cogner aux murs jusqu’à ce qu’on trouve enfin la solution que le gentil scénariste a prévue pour vous.
On trouve dans le commerce des scénarios de jeu de rôle jeu de rôle Jeu qui consiste à interpréter le rôle d’un protagoniste (généralement un héros) dans une histoire. narratif et de murder-party prêts à jouer (enfin, prêts à jouer, c’est vite dit, il vaut mieux que le MJ les ait potassés un peu avant quand même !). A ma connaissance, ça n’existe pas pour le killer killer Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. . Les éditions Steve Jackson Games ont édité des règles et conseils sous le simple nom de « killer killer Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. ». C’est commercialisé en France par Descartes Éditeur.
Un petit clin d’oeil à Christian pour finir : quand les joueurs doivent fouiller la piaule du vilain, il serait bien qu’il évite d’y laisser traîner son exemplaire du scénario !