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Le jeu dont vous êtes... la victime !
Pourquoi ça jacte anglais anglais Parce que les premiers jeux de rôle venaient des pays anglophones... ? Parce que les premiers jeux de rôle venaient des pays anglo-saxons, les joueurs de ma génération ont commencé avec des règles du jeu en anglais anglais Parce que les premiers jeux de rôle venaient des pays anglophones... , des magazines en anglais anglais Parce que les premiers jeux de rôle venaient des pays anglophones... . Le jargon est en franglais. J’ai joué avec des joueurs un peu plus vieux que moi [1] qui mettaient très peu de français dans leur franglais !
On dit aussi « arrière-plan » , mais ça sonne mal en français, et ça n’a pas la richesse de sens du mot anglais anglais Parce que les premiers jeux de rôle venaient des pays anglophones... . J’ai cherché mieux, mais j’ai pas trouvé.
Le background background Le background, c’est le résumé que chaque joueur reçoit du maître de jeu sur son personnage. Bien sûr, le joueur peut s’inventer un passé, mais le MJ a toujours son mot à dire, afin d’assurer la cohérence de l’histoire. , c’est le résumé que chaque joueur reçoit du maître de jeu sur son personnage. Bien sûr, le joueur peut s’inventer un passé, mais le MJ a toujours son mot à dire, afin d’assurer la cohérence de l’histoire. Il contient :
Évidemment, si vous demandez à des sponsors de fournir des cadeaux (ne jamais demander d’argent, ça ne fonctionne pas, mais par exemple un grand fabricant de jouets m’avait fourni un énorme carton de gadgets sur un simple coup de fil), ils vont vouloir savoir si on va parler de l’événement, pour avoir un peu de pub en échange, le killer killer Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. lui-même touchant assez peu de monde. Quand vous aurez recruté cent joueurs, ce sera déjà un beau gros killer killer Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. . En théorie, vous devriez donc rameuter tous les journalistes de la planète. C’est là que je dis : gare, gare, gare !
Tous les jeux de rôle ont ça en commun : vus de l’extérieur, c’est-à-dire par un non-joueur, ils ressemblent à un sabbat chez les dingues. C’est un peu comme si on amenait un non-initié à un match de boxe, là où l’amateur éclairé voit de superbes uppercuts et de magnifiques crochets, le profane ne voit que des coups de poing sur la gueule. Cette remarque vaut aussi pour les parents, compagnes, professeurs, patronnes de vos joueurs. Ils peuvent devenir de merveilleux complices s’ils savent à quoi s’en tenir, ou de prodigieux emmerdeurs s’ils se braquent.
Méfiez-vous donc de l’image que vous projetez, et invitez plutôt la presse sur des points de scénario scénario Dans un jeu de rôle, histoire mise au point par le maître de jeu et les autres organisateurs éventuels, et dans laquelle les personnages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le déroulement de l’histoire. archi-préparés, voire demandez carrément aux joueurs de participer à une action un peu répétée (c’est mentir, comme dirait Souchon, mais bon...), plutôt que de lâcher un type avec une caméra au milieu de votre killer killer Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. . L’image du jeu et des joueurs en a déjà souffert par le passé, pas la peine d’en rajouter. « Ah, c’est normal que le môme ait attaqué le buraliste, il jouait à Donjons et Dragons ». L’information, ça se met en scène.
Filez-leur l’adresse de ce site, ça leur permettra de se renseigner avant de faire leur papier, et de se coucher moins bêtes. (J’ai le droit de me moquer des journalistes, j’ai moi-même commis quelques articles, dans le temps.)
Dans un jeu qui se déroule « en extérieurs » comme le Killer killer Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. , il est important que les joueurs se respectent mutuellement. En effet, les maîtres du jeu ne peuvent que rarement assister aux actions, et ne sont donc pas en mesure d’arbitrer quand c’est la parole de l’un contre celle de l’autre.
Jeu de rôle
jeu de rôle
Jeu qui consiste à interpréter le rôle d’un protagoniste (généralement un héros) dans une histoire.
où les joueurs sont sur leurs deux jambes, par opposition au jeu « de table » ou « sur table » (mais on ne joue pas sur la table, hein) dans lequel les joueurs sont assis et se contentent de jouer leur rôle verbalement (bon, ça déborde un peu, parfois, dans le feu de l’action). Dans le jargon, le terme désigne surtout le jeu en extérieur et en costumes (souvent en ambiance médiévale), les autres types de GN étant désignés par leur nom précis (killer
killer
Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant.
ou murder-party
murder-party
Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste à se réunir dans un lieu clos pour une soirée. Au bout d’un certain temps, quelqu’un « meurt » assassiné. Les invités décident alors de chercher eux-mêmes l’assassin en attendant l’arrivée de la police.
À partir de ce principe académique, de nombreuses variantes ont vu le jour.
).
Chez EVA, nous nommions « jeu de rôle jeu de rôle Jeu qui consiste à interpréter le rôle d’un protagoniste (généralement un héros) dans une histoire. narratif » le jeu sur table jeu sur table Jeu de rôle où les joueurs sont assis et se contentent de jouer leur rôle verbalement. , pour s’y retrouver.
Jeu de rôle jeu de rôle Jeu qui consiste à interpréter le rôle d’un protagoniste (généralement un héros) dans une histoire. dû à Croc, prolifique auteur français, dans lequel les joueurs incarnent soit des anges (un rien iconoclastes, je le crains), soit des démons qui descendent ou montent sur Terre pour accomplir des missions.
Vous pouvez chercher l’inspiration du côté de la série Supernatural si cet univers vous intéresse, mais surtout pas Lucifer dont la pauvreté des intrigues et des dialogues vous fera vivre... l'enfer.
Le jeu semble désormais introuvable...
Notre adaptation : le Sceau de Salomon
Jeu qui consiste à interpréter le rôle d’un protagoniste (généralement un héros) dans une histoire. Bien entendu, l’histoire est modifiée par l’intervention des personnages des joueurs, et le maître de jeu, qui se charge de la raconter (et souvent d’interpréter les seconds rôles), l’adapte au fur et à mesure du déroulement de la partie.
Dans le grandeur-nature
grandeur-nature
Jeu de rôle où les joueurs sont sur leurs deux jambes, par opposition au jeu « sur table » dans lequel les joueurs sont assis et se contentent de jouer leur rôle verbalement.
, le meneur de jeu
meneur de jeu
Joueur qui gère le déroulement de la partie et s’efforce d’en maintenir la cohérence. Il connaît tout de l’histoire qu’il fait vivre aux autres joueurs.
est assisté par des « personnages non-joueurs
personnages non-joueurs
Les personnages non-joueurs sont les complices du maître de jeu, qui servent à la fois à donner du corps à l’histoire et à la maintenir dans l’axe du scénario.
Dans le jeu de rôle classique (dit « jeu sur table ») c’est généralement le maître du jeu qui incarne tous les personnages non-joueurs (PNJ).
» qui connaissent le scénario
scénario
Dans un jeu de rôle, histoire mise au point par le maître de jeu et les autres organisateurs éventuels, et dans laquelle les personnages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le déroulement de l’histoire.
et l’aident à le mener à bien, parce que les joueurs se déplacent et qu’il ne peut pas être partout. On leur donne le rôle d’un personnage qui jouit d’une certaine autorité (le commissaire, le maître de maison, le notaire, le grand chambellan) de façon à leur permettre d’infléchir le cours de l’histoire sans sortir du jeu.
Autour d’une table, le maître du jeu maître du jeu Joueur qui gère le déroulement de la partie et s’efforce d’en maintenir la cohérence. Il connaît tout de l’histoire qu’il fait vivre aux autres joueurs. est généralement seul. C’est d’ailleurs préférable.
Par opposition au grandeur-nature, les joueurs restent assis autour d’une table et n’interprètent leur rôle que verbalement, réagissant à l’histoire dans laquelle les intègre le maître du jeu maître du jeu Joueur qui gère le déroulement de la partie et s’efforce d’en maintenir la cohérence. Il connaît tout de l’histoire qu’il fait vivre aux autres joueurs. .
Exemple :
Joueur : je crochète la porte pour entrer chez le suspect.
MJ : elle s’ouvre assez facilement.
Joueur : je fouille partout, méthodiquement.
MJ : tu ne trouves pas grand chose d’intéressant, sauf une cassette audio sur laquelle il est inscrit « Beethoven ». Jusqu’ici tu n’avais trouvé que du rock’n’roll.
Joueur : je la mets dans le lecteur de la chaîne.
MJ : une voix sort des hauts-parleurs. Elle dit : « il faut vous débarrasser de ces fouineurs ; à force de vous coller comme ça ils vont finir par... ». Et là tu entends un pas dans l’escalier. Qu’est-ce que tu fais ?
Les règles du jeu servent à régler les situations litigieuses et à cadrer les possibilités d’un personnage ; par exemple, le maître du jeu maître du jeu Joueur qui gère le déroulement de la partie et s’efforce d’en maintenir la cohérence. Il connaît tout de l’histoire qu’il fait vivre aux autres joueurs. a testé (par un jet de dés) le talent du joueur à forcer une serrure, avant de lui dire s’il y parvenait. Cependant, le maître de jeu est vraiment tout puissant (d’où son nom), il peut tout à fait, si cela sert son scénario scénario Dans un jeu de rôle, histoire mise au point par le maître de jeu et les autres organisateurs éventuels, et dans laquelle les personnages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le déroulement de l’histoire. , mettre un gros verrou à la porte ou au contraire accorder l’ouverture sans lancer les dés. C’est dans ce sens que je dis que les joueurs de JdR sont habitués à être fair-play et à accepter des décisions qui pourraient sembler arbitraires : ils ne savent pas ce que contient la suite de l’histoire ; s’ils se font friter par un petit extra-terrestre tout fripé tout vieux lors d’un combat, ils doivent l’accepter comme un élément de l’histoire et chercher à comprendre pourquoi (« tu n’es pas encore prêt, petit Skywalker »). Ils ne doivent pas supposer que c’est parce que le MJ les a dans le nez. Ce sont les mauvais MJ qui font ça, et on n’en connaît pas, oh non, n’est-ce pas, mon Trésor ? Pareil si un petit gars aux pieds poilus est subitement introuvable, hmmm ?
A noter que le jeu de rôle jeu de rôle Jeu qui consiste à interpréter le rôle d’un protagoniste (généralement un héros) dans une histoire. narratif est un jeu de coopération, c’est à dire que les joueurs forment une équipe. Ils ne se combattent théoriquement pas entre eux (mais la zizanie, parfois, s’installe), ils affrontent les méchants du scénario scénario Dans un jeu de rôle, histoire mise au point par le maître de jeu et les autres organisateurs éventuels, et dans laquelle les personnages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le déroulement de l’histoire. .
jeu de rôle grandeur-nature grandeur-nature Jeu de rôle où les joueurs sont sur leurs deux jambes, par opposition au jeu « sur table » dans lequel les joueurs sont assis et se contentent de jouer leur rôle verbalement. qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant.
L’arme emblématique du Killer killer Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. est le pistolet à eau.
Pour que ce soit rigolo, on demande aux joueurs de faire preuve d’une certaine inventivité (déguisement, système à retardement...) et bien sûr la présence de témoins lors du meurtre est sanctionnée.
Dans sa version simple (pan-pan), le killer killer Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. est vraiment à la limite du jeu de rôle jeu de rôle Jeu qui consiste à interpréter le rôle d’un protagoniste (généralement un héros) dans une histoire. , plus près de la blague de potache. C’est d’ailleurs là son origine. Les killers plus organisés poussent les joueurs à interpréter un vrai rôle, compatible cependant avec la vie quotidienne (d’où le succès des scénarios d’espionnage : votre vie privée devient votre « couverture d’agent » ). Et le meurtre n’est plus forcément le but ultime. Il y a un scénario scénario Dans un jeu de rôle, histoire mise au point par le maître de jeu et les autres organisateurs éventuels, et dans laquelle les personnages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le déroulement de l’histoire. , géré par des organisateurs, et la réussite consiste à accomplir sa mission.
Joueur qui gère le déroulement de la partie et s’efforce d’en maintenir la cohérence. Il connaît tout de l’histoire qu’il fait vivre aux autres joueurs.
Ce n’est pas un terme de jeu de rôle jeu de rôle Jeu qui consiste à interpréter le rôle d’un protagoniste (généralement un héros) dans une histoire. . C’est le grand Alfred Hitchcock lui-même qui en parle dans ses entretiens avec Truffaut (je vous conseille le bouquin, un de mes livres de chevet).
Le McGuffin McGuffin Le McGuffin, c’est, dans une histoire à suspense, la chose que tout le monde cherche. Peu importe ce que c’est ! , c’est, dans une histoire à suspense, la chose que tout le monde cherche. Peu importe ce que c’est ! Ce qui est intéressant, ce sont les aventures que vivent les différents protagonistes pour retrouver le fichu machin avant leur adversaire.
Jeu de rôle jeu de rôle Jeu qui consiste à interpréter le rôle d’un protagoniste (généralement un héros) dans une histoire. grandeur-nature grandeur-nature Jeu de rôle où les joueurs sont sur leurs deux jambes, par opposition au jeu « sur table » dans lequel les joueurs sont assis et se contentent de jouer leur rôle verbalement. qui consiste à se réunir dans un lieu clos pour une soirée. Au bout d’un certain temps, quelqu’un « meurt » assassiné. Les invités décident alors de chercher eux-mêmes l’assassin (qui est forcément l’un des leurs) en attendant l’arrivée de la police. L’intéressé et ses éventuels complices va tout faire pour brouiller les pistes, évidemment. Souvent, l’enquête dévoile des histoires annexes, qui viennent compliquer les choses : le prétendu colonel Moutarde est innocent du crime, mais il refuse d’être fouillé, vu que c’est lui qui a profité de la confusion pour piquer son collier à mademoiselle Rose ! Il aimerait bien que l’assassin soit démasqué, ça éviterait qu’on s’intéresse de trop près à son état-civil, mais il ne peut pas révéler les propos qu’il a surpris pendant qu’il ouvrait le coffre dans le bureau.
Vous voyez le genre ? J’ai donné un exemple très académique (Agatha n’a qu’à bien se tenir !) mais chaque maître du jeu maître du jeu Joueur qui gère le déroulement de la partie et s’efforce d’en maintenir la cohérence. Il connaît tout de l’histoire qu’il fait vivre aux autres joueurs. peut inventer sa propre histoire sur le principe du vase clos.
C’est mieux si l’assassin est un joueur, et pas un complice (mais il faut le choisir malin, de préférence un joueur expérimenté).
C’est une forme de killer killer Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. simple où les joueurs utilisent des « lanceurs » (on ne doit pas dire des flingues, ce n’est pas politiquement correct) qui envoient des balles de peinture à très grande vitesse. Le joueur touché (splatch !) est « mort » et quitte le jeu. La dimension jeu de rôle jeu de rôle Jeu qui consiste à interpréter le rôle d’un protagoniste (généralement un héros) dans une histoire. est très succincte, c’est plus un défouloir, ou un sport, qu’un jeu de rôle jeu de rôle Jeu qui consiste à interpréter le rôle d’un protagoniste (généralement un héros) dans une histoire. .
Certains joueurs jouent au paint-ball
paint-ball
C’est une forme de killer simple où les joueurs utilisent des « lanceurs » qui envoient des balles de peinture.
Le joueur touché (splatch !) est « mort » et quitte le jeu.
avec un scénario
scénario
Dans un jeu de rôle, histoire mise au point par le maître de jeu et les autres organisateurs éventuels, et dans laquelle les personnages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le déroulement de l’histoire.
, mais ce n’est pas la majorité.
Le paint-ball
paint-ball
C’est une forme de killer simple où les joueurs utilisent des « lanceurs » qui envoient des balles de peinture.
Le joueur touché (splatch !) est « mort » et quitte le jeu.
exige une garantie de sécurité physique, et au moins un masque de protection, l’impact des balles étant assez violent.
Les personnages non-joueurs
personnages non-joueurs
Les personnages non-joueurs sont les complices du maître de jeu, qui servent à la fois à donner du corps à l’histoire et à la maintenir dans l’axe du scénario.
Dans le jeu de rôle classique (dit « jeu sur table ») c’est généralement le maître du jeu qui incarne tous les personnages non-joueurs (PNJ).
sont les complices du maître de jeu, qui servent à la fois à donner du corps à l’histoire et à la maintenir dans l’axe du scénario
scénario
Dans un jeu de rôle, histoire mise au point par le maître de jeu et les autres organisateurs éventuels, et dans laquelle les personnages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le déroulement de l’histoire.
.
Dans le jeu de rôle
jeu de rôle
Jeu qui consiste à interpréter le rôle d’un protagoniste (généralement un héros) dans une histoire.
classique (dit « jeu sur table
jeu sur table
Jeu de rôle où les joueurs sont assis et se contentent de jouer leur rôle verbalement.
») c’est généralement le maître du jeu
maître du jeu
Joueur qui gère le déroulement de la partie et s’efforce d’en maintenir la cohérence. Il connaît tout de l’histoire qu’il fait vivre aux autres joueurs.
qui incarne tous les personnages non-joueurs
personnages non-joueurs
Les personnages non-joueurs sont les complices du maître de jeu, qui servent à la fois à donner du corps à l’histoire et à la maintenir dans l’axe du scénario.
Dans le jeu de rôle classique (dit « jeu sur table ») c’est généralement le maître du jeu qui incarne tous les personnages non-joueurs (PNJ).
(PNJ).
Dans un jeu de rôle
jeu de rôle
Jeu qui consiste à interpréter le rôle d’un protagoniste (généralement un héros) dans une histoire.
, histoire mise au point par le maître de jeu et les autres organisateurs éventuels, et dans laquelle les personnages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le déroulement de l’histoire. C’est le boulot du maître de jeu de prévoir les réactions des joueurs, et de leur préparer différents chemins en fonction de leurs décisions. Bien entendu, ils peuvent prendre des initiatives imprévues, et le maître de jeu doit alors improviser pour continuer l’histoire vaille que vaille. Dans les parties longues (on parle de « campagne » quand les joueurs se voient par exemple tous les samedis pour continuer le scénario
scénario
Dans un jeu de rôle, histoire mise au point par le maître de jeu et les autres organisateurs éventuels, et dans laquelle les personnages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le déroulement de l’histoire.
), il peut stopper le jeu pour y réfléchir jusqu’à la séance suivante. Impossible dans une murder-party
murder-party
Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste à se réunir dans un lieu clos pour une soirée. Au bout d’un certain temps, quelqu’un « meurt » assassiné. Les invités décident alors de chercher eux-mêmes l’assassin en attendant l’arrivée de la police.
À partir de ce principe académique, de nombreuses variantes ont vu le jour.
qui se déroule sur le temps d’une soirée ! Dans un killer
killer
Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant.
il peut introduire une mission annexe pour occuper les joueurs le temps de trouver une parade.
Cette dimension d’improvisation n’existe pas dans les jeux d’aventure sur ordinateur, abusivement appelés « jeux de rôle » , parce que l’ordinateur ne sait pas improviser. On se retrouve coincé à se cogner aux murs jusqu’à ce qu’on trouve enfin la solution que le gentil scénariste a prévue pour vous.
On trouve dans le commerce des scénarios de jeu de rôle
jeu de rôle
Jeu qui consiste à interpréter le rôle d’un protagoniste (généralement un héros) dans une histoire.
narratif et de murder-party
murder-party
Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste à se réunir dans un lieu clos pour une soirée. Au bout d’un certain temps, quelqu’un « meurt » assassiné. Les invités décident alors de chercher eux-mêmes l’assassin en attendant l’arrivée de la police.
À partir de ce principe académique, de nombreuses variantes ont vu le jour.
prêts à jouer (enfin, prêts à jouer, c’est vite dit, il vaut mieux que le MJ les ait potassés un peu avant quand même !). A ma connaissance, ça n’existe pas pour le killer
killer
Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant.
. Les éditions Steve Jackson Games ont édité des règles et conseils sous le simple nom de « killer
killer
Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant.
». C’est commercialisé en France par Descartes Éditeur.
Un petit clin d’oeil à Christian pour finir : quand les joueurs doivent fouiller la piaule du vilain, il serait bien qu’il évite d’y laisser traîner son exemplaire du scénario scénario Dans un jeu de rôle, histoire mise au point par le maître de jeu et les autres organisateurs éventuels, et dans laquelle les personnages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le déroulement de l’histoire. !
[1] des gars de la Ligue d’Improvisation : comment jouer un rôle quand on pisse de rire ?