Salut,
Je m’appelles Charles, je viens du Québec, au Canada, et j’aimerais bien organiser un killer killer Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. . Ce serait mon premier. J’aimerais savoir le nombre minimum, et/ou le nombre idéal de joueur pour un premier killer killer Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. .
Félicitations pour ton site web.
Merci à l’avance.
Salut Charles !
Je te conseille en premier lieu de commencer avec un killer killer Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. simple pour te faire la main, avec juste quelques amis fidèles (une douzaine, ou même une quinzaine). S’il y a trop peu de monde ce sera fini trop vite.
Juste un cercle de la mort (tu sais, A doit tuer B qui doit tuer C etc...). En plus, c’est intéressant : tu peux y participer puisqu’il s’agit d’un tirage au sort (chaque nom sur un papier dans un chapeau, le joueur remet le papier s’il tire son propre nom). Fais aussi un tirage au sort pour les « armes », mais là tu peux mettre plusieurs fois la même arme, ça n’a pas d’importance. Si tu montes un « gros » killer killer Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. tout de suite, tu seras organisateur et tu n’auras pas la joie de participer « de l’intérieur ». C’est agréable aussi d’être organisateur, mais différent.
N’hésite pas à m’interroger encore, je me ferai une joie de répondre.
Je suis allé au Québec, et c’est avec plaisir que « Je me souviens » ! [1]
J’ai adoré, c’était à la fin de l’hiver, il faisait encore des froids polaires, mais la chaleur je l’ai trouvée dans les cœurs. Pour ne rien te cacher, aujourd’hui avec ma « blonde » nous parlions (en plaisantant, mais sait-on jamais...) d’émigrer dans la Belle Province. Si ça se trouve tu vas me voir débarquer un de ces quatre.
A bientôt
Fred