Avec l’association EVA, nous organisions des séjours pour enfants dans lesquels ils vivaient des aventures scénarisées. On ne peut pas vraiment parler de Killer killer Jeu de rôle grandeur-nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes factices, généralement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. , dans la mesure où personne ne « mourait » mais les grands principes du jeu sont là : superposition à la vie réelle, (un peu de) paranoïa, une grosse part d’improvisation, des indices à trouver...
Gros avantage de cette formule : le scénario
scénario
Dans un jeu de rôle, histoire mise au point par le maître de jeu et les autres organisateurs éventuels, et dans laquelle les personnages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le déroulement de l’histoire.
peut rendre palpitante la visite d’un lieu qui n’aurait pas, à lui seul, passionné les enfants...
Si le méchant y est passé avant eux, il a peut-être laissé des indices.
Il faut bien écouter le guide qui a l’habitude de passer des messages codés dans ses explications.
Les tableaux illustrent le manuscrit ancien qu’on a déjà découvert...
Voici un exemple de petit événement.
Joyeux anniversaire !
Dans les séjours, il est d’usage de fêter les anniversaires du mois.
Mais quand on participe à un séjour EVA, il faut s’attendre à ce que le méchant ait dynamité le gâteau.
Je peux vous dire que quand le gâteau pète, il y a un blanc dans les conversations ! [1]
Remarquez comme les enfants sont loin ; sécurité, toujours.
Tout est bien qui finit bien, Mario notre super cuistot était si gourmand qu’il avait préparé un second gâteau ! (un vrai, pas en mousse à raser, cette fois-ci...)
Les clichés sont de moi ; j’avoue en être assez content, sur ce coup-là.