Killer

Le jeu dont vous êtes... la victime !

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Le Killer expliqué

Killer, le jeu de l’assassin

Moi, j’étais sûr qu’ils reviendraient crevés ; ils sont vivants, un succès. Mieux, une surprise.

(Lionnel Astier, Kaamelott, Livre IV, La Réaffectation, écrit par Alexandre Astier)

 Les armes

Chaque joueur se choisit ou tire au sort une arme et une seule au début du jeu.

Certaines sont évidentes (pistolet à eau), d’autres plus difficiles à mettre en œuvre (machine infernale, animal venimeux). Pour avoir le droit d’utiliser une autre arme, il doit la « prendre » sur une victime (pas lui piquer son flingue pour de vrai, mais son droit à s’en servir) ou l’acquérir autrement (récompense des supérieurs, achat, etc.). La recherche d’armes nouvelles peut être un élément de scénario scénario Dans un jeu de rôle, his­toire mise au point par le maître de jeu et les autres orga­ni­sa­teurs éven­tuels, et dans laquelle les per­son­nages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le dérou­lement de l’histoire. ou de rythmique.

Certaines armes peuvent être accordées par les organisateurs parce que rigolotes ou originales (rouge à lèvres empoisonné).

On peut faire crédit à un joueur pour une arme et lui envoyer un tueur s’il ne tient pas ses engagements.


 

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