Killer

Le jeu dont vous êtes... la victime !

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Le Killer expliqué

Killer, le jeu de l’assassin

Moi, j’étais sûr qu’ils reviendraient crevés ; ils sont vivants, un succès. Mieux, une surprise.

(Lionnel Astier, Kaamelott, Livre IV, La Réaffectation, écrit par Alexandre Astier)

 L’argent

L’argent dans le jeu doit être comme dans la vraie vie : rare, dur à obtenir, facile à dépenser. Il peut être dangereux pour les organisateurs ; gare au joueur « riche » qui achète tout ce qu’il veut. On a les mêmes soucis que les vrais émetteurs de monnaie, identification, contrefaçon, équilibre... Un joueur doit avoir l’occasion de dépenser son argent, et l’occasion de regretter de ne pas en avoir à dépenser.

Exemples :

- des indics (ou un seul qui bouffe à tous les râteliers, mais on peut l’abattre pour le faire taire)
- des limitations (personnage drogué devant chercher sa dose)
- des armes dévastatrices à vendre
- des rançons
- de la corruption
- des amendes infligées par les supérieurs, la police
- la possibilité de payer ses boissons en argent de jeu lors des réunions dans un café complice (idéal pour se faire repérer)

Un joueur tué doit remettre son argent à son assassin (fair-play).

L’argent est un bon moyen d’équilibrer le jeu, en faisant trouver un trésor à une équipe mal en point, peu nombreuse, démotivée.


 

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