- Définition, p1
- Création d’une murder-party, p2
- Travaux pratiques, p3
- Règles, p4
- Gestion du jeu, p5
Règles
Les règles sont simples : la vraisemblance est reine. Documents, indices, monnaie, armes doivent avoir une forme matérielle et être manipulables. En aucun cas le maître du jeu maître du jeu Joueur qui gère le déroulement de la partie et s’efforce d’en maintenir la cohérence. Il connaît tout de l’histoire qu’il fait vivre aux autres joueurs. ne doit avoir à stopper le déroulement de l’action pour donner une explication, ou restituer un point de règle, ou encore décrire un événement. La seule raison valable d’agir ainsi serait la sécurité des personnes, et la préparation doit être suffisamment rigoureuse pour y pallier d’avance.
Bien évidemment, les armes seront fausses, mais elles devront avoir un effet visible (pistolet à eau ou à amorces, voire capsule d’hémoglobine sur la victime) ; les billets seront faux mais matérialisés ; une lettre sera de l’écriture du joueur ou du complice qui est sensé l’avoir écrite ; un poison sera inoffensif (heureusement !) mais salé...
Des règles spéciales pourront éventuellement être créées, pour le besoin d’un scénario scénario Dans un jeu de rôle, histoire mise au point par le maître de jeu et les autres organisateurs éventuels, et dans laquelle les personnages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le déroulement de l’histoire. particulier, mais elles seront simples à assimiler et la simulation s’efforcera de respecter la vraisemblance. Exemple, sur un background background Le background, c’est le résumé que chaque joueur reçoit du maître de jeu sur son personnage. Bien sûr, le joueur peut s’inventer un passé, mais le MJ a toujours son mot à dire, afin d’assurer la cohérence de l’histoire. : « vous n’avez pas conscience d’avoir été hypnotisé, mais si le Comte Rostoff s’approche de vous en vous appelant « Monseigneur », vous devrez faire tout ce qu’il vous demandera. Dès qu’il aura claqué des doigts vous aurez tout oublié ».
Toute action dont la compréhension n’est pas immédiatement évidente peut être officialisée, mine de rien, par un complice (« vous avez vu ce qu’il a fait ? »).