Killer

Le jeu dont vous êtes... la victime !

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Le Killer expliqué

Killer, le jeu de l’assassin

Moi, j’étais sûr qu’ils reviendraient crevés ; ils sont vivants, un succès. Mieux, une surprise.

(Lionnel Astier, Kaamelott, Livre IV, La Réaffectation, écrit par Alexandre Astier)

 Killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. élaboré par équipes

Même principe consistant à s’entre-tuer pour de faux, mais le scénario scénario Dans un jeu de rôle, his­toire mise au point par le maître de jeu et les autres orga­ni­sa­teurs éven­tuels, et dans laquelle les per­son­nages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le dérou­lement de l’histoire. complique le jeu, et il est parfois plus intéressant de cuisiner un joueur, voire -horreur !- de conclure une alliance pour atteindre le but fixé par ce scénario scénario Dans un jeu de rôle, his­toire mise au point par le maître de jeu et les autres orga­ni­sa­teurs éven­tuels, et dans laquelle les per­son­nages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le dérou­lement de l’histoire. . Ce but n’est plus de rester le seul survivant. Les joueurs sont organisés par équipes, avec une identification, un background background Le back­ground, c’est le résumé que chaque joueur reçoit du maître de jeu sur son per­sonnage. Bien sûr, le joueur peut s’inventer un passé, mais le MJ a tou­jours son mot à dire, afin d’assurer la cohé­rence de l’histoire. , un chef exigeant, des principes (pas de meurtre gratuit si on est les gentils). Les joueurs devront passer du temps à identifier les membres des autres équipes, puisque chaque joueur n’a les coordonnées que d’un autre joueur comme dans le killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. simple.

Cette notion de renseignement implique un détour par la technologie. Il faut savoir l’utiliser (Internet, message audio sur K7, voire CD, programmateur électrique, webcams, etc.) tout en s’en méfiant, car elle peut donner un sacré coup de main au joueur intelligent (annuaire inversé, signal d’appel, joueurs plus mobiles car équipés de portables, etc.). Un exemple rapide : un joueur qui bossait dans la téléphonie savait tout avant tout le monde ; il piratait mon répondeur !

Nous allons détailler un peu celui-là, qui mérite qu’on s’y arrête. Plus riche, il est aussi plus difficile à réussir.


 

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