Killer

Le jeu dont vous êtes... la victime !

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Le Killer expliqué

Killer, le jeu de l’assassin

Moi, j’étais sûr qu’ils reviendraient crevés ; ils sont vivants, un succès. Mieux, une surprise.

(Lionnel Astier, Kaamelott, Livre IV, La Réaffectation, écrit par Alexandre Astier)

 Scénarios

Il est impossible de fournir un scénario scénario Dans un jeu de rôle, his­toire mise au point par le maître de jeu et les autres orga­ni­sa­teurs éven­tuels, et dans laquelle les per­son­nages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le dérou­lement de l’histoire. tout prêt, celui-ci étant intimement lié aux possibilités du lieu et à la personnalité des organisateurs. Il n’est pas très utile qu’il soit très écrit, puisqu’il sera remanié chaque soir en fonction des événements. Il faut quand même éviter de partir les mains dans les poches en se disant on verra bien.

- Espionnage

De loin le meilleur thème, le plus fédérateur, qui s’inscrit facilement dans une ville d’aujourd’hui. Il est plus difficile d’écrire des scenarii depuis la chute du Mur (cf. 007) mais on peut situer l’action dans les années 70-80. C’est le scénario scénario Dans un jeu de rôle, his­toire mise au point par le maître de jeu et les autres orga­ni­sa­teurs éven­tuels, et dans laquelle les per­son­nages des joueurs seront insérés. En jouant, ils vont infléchir le dérou­lement de l’histoire. où l’on aura le plus de filles (leur côté Mata-Hari).

L’ambiance secrète explique les précautions de sécurité (les pros ne se font pas remarquer).

Un exemple : notre Barbouze’s Killer

- Mafia

Tout de suite moins de filles (Sicile oblige). Obligation d’opposer des flics (au moins un groupe) qui n’ont pas les mêmes possibilités que les autres (acheter une arme spéciale ?)

- In Nomine Satanis In Nomine Satanis
Magna Veritas
Jeu de rôle français dans lequel les joueurs incarnent soit des anges, soit des démons en mis­sion sur Terre.
/ Magna Veritas In Nomine Satanis
Magna Veritas
Jeu de rôle français dans lequel les joueurs incarnent soit des anges, soit des démons en mis­sion sur Terre.

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Mutine diablotine par Bruno Bellamy - http://bellaminettes.com

L’affrontement anges / démons a beaucoup plu chez nous. Il nécessite d’introduire la magie (sinon c’est un peu fade) qui réclame des effets spéciaux. Notre système de sortilèges (les atouts du tarot brandis devant soi) fonctionnait plutôt bien. Nous avons introduit des agents des divinités polythéistes, avec des pouvoirs en perte de vitesse mais une farouche volonté de revanche, et des sorciers humains. Une variante possible, mêlant occultisme et « services secrets » : le pendule de Foucault.

Plus d’informations sur notre adaptation : le Sceau de Salomon

- Vampire

Pourquoi pas, mais je ne suis pas convaincu. Difficile de simuler les garous, les pieux, certains joueurs devront attendre le coucher du soleil pour avoir des pouvoirs, ou tout simplement le droit de sortir... Beaucoup plus utilisable dans une murder-party murder-party Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste à se réunir dans un lieu clos pour une soirée. Au bout d’un certain temps, quelqu’un « meurt » assassiné. Les invités décident alors de chercher eux-​​mêmes l’assassin en attendant l’arrivée de la police.

À partir de ce principe académique, de nombreuses variantes ont vu le jour.
(les coulisses du Théâtre des Vampires).

On peut cependant proposer des solutions : faire des organisateurs les vampires principaux, et autoriser des demi-vampires, capable de vivre le jour ; ou encore faire un cycle inversé et considérer que le jour est la nuit et vice-versa, les joueurs vampires ne pouvant pas agir le soir. Enfin, une solution à la Buffy où l’on considère que ce n’est pas le jour qui pose problème mais la lumière du jour. Un vampire surpris à la lumière du jour est considéré comme incapable de se défendre, mais gare à la pénombre.


 

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