Killer

Le jeu dont vous êtes... la victime !

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Un exemple de Killer

Le Sceau de Salomon

Bon, rappelons-le, tout ça, c’est des souvenirs d’ancien, si vous tombez sur cette page au hasard d’une recherche, notez bien ceci : le Sceau de Salomon a ensanglanté Paris (pour de rire) en 1990.

Ça ne nous rajeunit pas.

  Sommaire  

 Règles

Les Devins sont costauds (on saura plus tard qu’ils se nomment en fait Zeus, Gabriel ou Asmodée, voyez ce que je veux dire ?) et peuvent sauver les « morts » deux fois pendant le killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. , qui ne dure que dix jours. C’est assez large, alors autant dire que les troupes vont au combat sans trop d’appréhension. Le joueur est de nouveau en piste le lendemain à midi. Cette règle particulière tient au fait que les personnages sont des créatures surnaturelles, et qu’on a besoin de les hiérarchiser. En effet, dans le jeu de Croc, le rang des personnages au sein de leur organisation a beaucoup d’importance.

Le nombre de décès au cours du premier killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. détermine le rang du joueur dans « le Sceau de Salomon Part Two », un killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. sur le même thème mais devant durer... six mois ! Autant dire tout de suite que c’était une mauvaise idée. Un killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. aussi long perd beaucoup de son charme, même la paranoïa finit par retomber, et la vie quotidienne (boulot, examens, galères de fric) reprend le dessus au bout d’un moment. C’est à proscrire absolument. Je m’étonne encore qu’on ait presque réussi ce pari.

Bref, les meilleurs joueurs commençaient la seconde partie avec un statut d’Ange (par exemple, dans le cas du Bien), une position de chef, et des pouvoirs. Les pouvoirs sont symbolisés par des cartes de tarot que l’on brandit devant soi. Le 13 d’atout tue sa victime, le 7 la fait fuir, la 15 le transforme en tueur psychopathe (il doit abattre une personne par jour pendant une semaine sous peine de succomber lui-même) et la redoutable Excuse permet de retourner un pouvoir contre l’agresseur (choc en retour). Elle peut cependant être contrée à son tour par l’inénarrable « dix de der » qui doit être clamé bien fort !

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Le Sceau de Salomon - l’affiche

Les joueurs qui sont morts et qui n’ont trouvé aucun morceau du Sceau occupent les rangs inférieurs, par exemple dans le camp du Mal : Familier, Mort-vivant, ou humain ordinaire. Les humains ordinaires n’ont pas droit aux pouvoirs, alors pour faire joujou avec les cartes, il faut grimper dans la hiérarchie.


 

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