Killer

Le jeu dont vous êtes... la victime !

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Assassiner autrement

Killer par actions

C’est un lecteur, Pierre Charlet, qui m’a signalé ce type de killer killer Jeu de rôle grandeur-​​nature qui consiste pour les joueurs à s’entre-tuer « pour de faux » avec des armes fac­tices, géné­ra­lement jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un qui est déclaré gagnant. que je ne connaissais pas.

Il peut être improvisé rapidement au sein d’un petit groupe et géré par une seule personne.

Vas-y, Pierre, explique.

 Questions et réponses pour les joueurs

  • Qui peut-on tuer ?
    • N’importe quel concurrent figurant dans le tableau des scores
  • Que fait-on une fois la mission accomplie ?
    • L’assassin prend la mission de sa victime qui devient sa nouvelle mission. La victime contacte l’organisateur pour dire qui l’a tuée et récupérer une nouvelle mission.
  • Peut-on tuer la même personne plusieurs fois ?
    • Bien sûr. Il est difficile de tuer la même personne deux fois de suite car la seconde fois on le fait avec sa propre mission donc il sera accordé un bonus à l’assassin qui réussira ce tour de force.
  • Et si la future victime me démasque ?
    • Si la victime vous perce à jour, il ne se passe rien. Chacun garde sa propre mission. Evidemment, si d’autres joueurs ont assisté à votre tentative, ça fera autant de victimes potentielles en moins. Bien sûr, rien ne vous empéche de réessayer de piéger la même personne de manière différente.
  • Peut-on raconter ses meurtres à un autre joueur ?
    • Aucune obligation. Cependant, plus les joueurs connaissent votre manière d’opérer, moins facilement ils se laisseront prendre.
  • Si plusieurs joueurs font l’action en même temps, je les tue tous ?
    • Non. Dans ce cas, l’assassin choisit une seule victime
  • L’organisateur participe-il ?
    • Il ne peut tuer personne. Par contre si vous réussissez à le tuer, vous marquez 3 points (rappelez-vous qu’il connaît vos missions...).

D’autres bonnes idées ici. D’ailleurs j’aimerais bien que Bulbie nous raconte comment ça s’est passé.


 

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